Archives du mot-clé Michael Kiske

Master of the Rings – Helloween

helloween-master-of-the-ringsSorti le 8 juillet 1994

Et voilà! Après le départ (suivi du suicide) du batteur Ingo Schwichtenberg et du renvoi du chanteur Michael Kiske, qui était vu comme la cause des déboires du groupe, Helloween revient en force avec Master of the Rings en 1994. Armé d’un nouveau batteur, Uli Kusch (ex-Gamma Ray) et d’un nouveau chanteur, Andi Deris (ex-Pink Cream 69), on a là un retour à ce qui a fait la renommée du groupe : le power metal. Lire la suite

Pink Bubbles Go Ape – Helloween

Helloween-Pink Bubbles Go ApeSorti le 21 mars 1991

Suite au départ de Kai Hansen du groupe en 1989, les problèmes se sont accumulés pour le groupe. Ils ont entre autres poursuivi leur label Noise Records, alléguant que celui-ci a caché de l’argent destiné au groupe. La poursuite a échoué, le groupe a dû payer d’importantes sommes d’argent et s’est vu interdit de publication en Amérique du Nord. Des tensions sont ainsi nées dans le groupe. C’est dans ce contexte que sort en 1991 Pink Bubbles Go Ape. Lire la suite

Keeper of the Seven Keys Part 2 – Helloween

keeper of the 7 keys pt 2Sorti en septembre 1988

Tout d’abord, je tiens à réviser mon opinion sur les deux Keepers. Mon opinion sur le premier ne change pas, il est toujours aussi parfait. Par contre, après multiple écoutes, je dois dire que le deuxième m’a un peu déçu par rapport aux critiques et à l’opinion globale des fans. Soyons clairs là-dessus : il est très bon. Par contre, est-ce que c’est un chef d’œuvre comme son prédécesseur? Pas tant. Lire la suite

Keeper of the Seven Keys Part 1 – Helloween

helloween_keeper_of_the_seven_keys_pt1Sorti le 23 mai 1987

Qui aurait prédit que l’arrivée d’un jeune chanteur de 18 ans nommé Michael Kiske aiderait à propulser Helloween dans les hautes sphères du métal? Mais ce fut tout de même le cas. Nous avons à présent cinq musiciens de haut talent, dont trois (Kiske, Michael Weikath et Kai Hansen) qui sont de superbes compositeurs. Ensemble, ils présentèrent à leur maison de disque un projet d’album concept, qui fut refusé, par crainte d’un manque de rentabilité. Ce faisant, Helloween a dû séparer son projet Keeper of the Seven Keys en deux, ce qui en somme est très bien, car cela leur a permis de nous donner non pas un, mais deux chef d’œuvres consécutifs. Lire la suite